Apprendre l’anglais à 50 ans : Comment faire ?
Le succès croissant ces dernières années des formations d’anglais financées par le CPF (Compte Personnel de Formation) témoigne de l’appétence qu’ont les français pour l’apprentissage de cette langue, et ce quel que soit leur âge.
Parmi les personnes qui aspirent à se perfectionner ou à découvrir une langue étrangère, on en compte de plus en plus qui sont des hommes et des femmes d’un âge mur, parfois qualifiés de jeunes séniors, des publics aux profils variés enthousiastes à l’idée de pouvoir s’enrichir culturellement.
Ils projettent d’apprendre l’anglais à 50 ans et beaucoup ignorent qu’ils ont l’occasion de concrétiser cela sans mettre la main à la poche.
Des quinquagénaires très motivés à apprendre l’anglais
D’après un sondage Ifop pour l’hebdomadaire Le point intitulé “Les Français et leur rapport à la langue anglaise”, si 48% des 18-24 ans et 34% des 25-44 ans déclarent comprendre et parler l’anglais, ils ne sont que 23% des 50-64 ans à en faire de même.
Ce n’est pas un manque d’intérêt, il existe en effet de nombreuses personnes parmi les quinquagénaires qui souhaitent bénéficier d’un enseignement en langue étrangère, et très souvent suivre des leçons d’anglais. Dans un
mémoire de master 2 recherche dédié à “L’apprentissage des langues étrangères après 50 ans” réalisée auprès d’apprenants des langues anglaise et italienne, on note les relatives
“difficultés de mémorisation” et la “peur de l’erreur” auxquelles semblent confrontés les jeunes séniors. Pourtant, ils jouissent d’un atout qui compense très largement cette limite, ils sont extrêmement enthousiastes à l’idée de parler anglais et pour certain même de devenir littéralement bilingue.
Qu’ils aient des motivations sociales, culturelles, professionnelles ou encore personnelles, ces hommes et ces femmes sont prêts à s’initier (ou approfondir pour ceux qui ont déjà des bases) à la grammaire, la conjugaison ainsi que l’orthographe de cette langue européenne.
Des cours d’anglais à 50 ans, financés par le CPF
Ce groupe auquel nous faisons référence englobe des profils d’apprenants très variés.
Ce sont notamment des néo-quinquagénaires dont la vie professionnelle est stabilisée, ayant atteint un objectif de carrière et désireux de tirer profit de leurs week-ends comme de leurs vacances pour se cultiver et se sensibiliser à des pays dont la langue officielle est l’anglais.
Il y a ensuite les couples proches de la retraite qui aspirent à voyager et souhaiteraient le faire dans les meilleures conditions possibles, c’est-à-dire entre autres en maîtrisant l’un des langages les plus parlés aux 4 coins du globe.
Nous songeons en outre aux foyers dépourvus d’enfants, en quête de nouveaux challenges, sans oublier les quelques chanceux qui profitent de la retraite avant 60 ans et jouissent d’un temps de cerveau libre encore plus conséquent.
Si une partie de ces gens accepteraient de dépenser une certaine somme pour s’offrir les services d’une école de langue, une autre grande partie des gens renoncent à l’idée de débuter un apprentissage ou de se perfectionner, eu égard au coût moyen d’une formation en langue.
À ces publics, nous exhortons d’aller s’assurer du montant dont leur compte CPF est alimenté. À titre d’information, les bénéficiaires de ce dispositif ont la possibilité de cumuler un montant de 5 000 ans pouvant leur servir à financer la formation éligible de leur choix.
Quant aux travailleurs handicapés bénéficiaires de l’obligation d’emploi, c’est un plafond de 8 000 euros dont ils sont susceptibles de profiter en fonction du temps qu’ils ont travaillé.
Une pluralité d’offres d’apprentissage de l’anglais
Les internautes avides d’apprentissage n’ont que l’embarras du choix lorsqu’ils décident de s’adresser à un organisme formateur.
Dans le dédale d’offres proposées en ligne, quelques établissements doivent retenir leur attention, qu’ils se démarquent par la variété de leurs ressources, l’ergonomie de leurs outils d’apprentissage ou encore l’originalité de leur méthode.
Il y a Gymglish, dont l’accompagnement très efficace se traduit notamment par le rappel des leçons d’anglais par mail ou par les notifications push.
Ce même organisme qui a la particularité de mettre en avant une réference culturelle à l’issue de chaque cours exploite le Microlearning pour optimiser le temps d’apprentissage et favoriser la motivation de chaque élève sur la durée.
Du côté de Mosalingua Premium, on séduit les plus intéressés réticents à mettre la main au portefeuille avec un essai gratuit. Outre sa plateforme d’apprentissage exhaustive et son excellente application mobile, cet éditeur de solutions d’apprentissage des langues favorise la mémorisation des mots dans leur contexte avec l’outil MosaDiscovery.
À la faveur des recherches sur un moteur dominant, vous avez peut-être déjà atterri sur WallStreetEnglish, qui a le mérite de susciter l’intérêt de nombreux candidats à l’apprentissage en publiant des cours textuels à la qualité incontestable.
L’expression orale est pour vous tout aussi importante que la faculté à écrire en anglais ?
Avec Clic-Campus, vous avez la garantie de travailler les deux aspects ! Il est notamment possible de suivre des cours individuels avec des professeurs d’origine anglaise, américaine ou encore australienne, une méthode très intéressante pour améliorer progressivement sa prononciation.
Le choix des enseignants et l’opportunité de programmer les séances quand vous le désirez – en fonction du planning du formateur anglais – constitue bien entendu un atout considérable.
