Comment apprendre l’anglais juridique ?
Nombre de français qui sont loin de maîtriser parfaitement la langue de Shakespeare partagent néanmoins des connaissances communes en anglais.
Outre les mots transparents qu’ils ont tendance à assimiler sans difficulté, ils sont généralement au fait des termes qui ont fait l’objet d’une francisation ainsi que des mots employés dans la vie de tous les jours, ceux que l’on retrouve dans les propos des journalistes, des sportifs, des acteurs de série télévisée…
En revanche, ils sont bien plus rares à connaître les expressions et formulations anglaises des avocats, des magistrats et plus largement des juristes.
Après avoir listé quelques-uns des termes fréquemment employés par les publics qui exercent des fonctions juridiques, nous évoquons l’une des options les plus fiables pour apprendre l’anglais juridique.
Le lexique de l’anglais juridique
Les protagonistes de l’univers juridique
Les infractions et sentences
Les verbes
Des cours d’anglais juridique en ligne
Du système juridique anglo-saxon au vocabulaire de la négociation contractuelle
Des organismes spécialisés dans l’enseignement en langues étrangères ont bien cerné les besoins variés des apprenants. Aussi, ils se sont attachés à élaborer des formations à thème, et notamment des cours d’anglais pensés pour les personnes qui exercent dans un secteur d’activité particulier.
Parmi eux, on compte des offres d’apprentissage de l’anglais juridique. Au cours de la formation, on s’exerce par exemple à la lecture de textes de loi et divers autres documents légaux. Les stagiaires étudient le système juridique anglo-saxon (institutions), ils découvrent les clauses formulées en anglais et sont sensibilisés au vocabulaire de la négociation contractuelle.
Les professeurs d’anglais sont aussi susceptibles d’échanger avec eux sur les actualités liées au Brexit et les changements réglementaires que cet événement a entraînés. Les enseignements permettent notamment aussi de pouvoir assister et participer à des réunions au côté de professionnels qui exercent différents métiers du droit.
Une pédagogie 2.0
Que vous souhaitiez aborder le domaine du droit du travail, du droit fiscal, celui des procédures collectives ou encore l’univers du droit de la consommation, cette formation en anglais juridique répondra à coup sûr à vos attentes ! Avec ses fiches de grammaire et ses correspondances français – anglais et anglais – français, vous allez rapidement vous familiariser avec la terminologie de ce secteur.
La diversité des contenus (textes illustrés, contenus audio et vidéos) auxquels vous accès permet un apprentissage ludique, et surtout à votre rythme. L’appui de professeurs anglophones natifs s’avère on ne peut plus crucial dans une optique de progression constante.
Vous redoutez d’investir dans des cours d’anglais juridique qui ne correspondent pas pleinement à vos attentes ? Les aides gérées par la Caisse des dépôts et consignations vous épargnent de puiser dans vos propres économies. A l’image de nombreux autres actifs et demandeurs d’emploi, vous êtes sans doute éligibles au financement de la formation par le CPF (Compte Personnel de Formation).
Une formation anglaise juridique pour un large public
En premier lieu, cette formation d’anglais juridique à distance intéresse les personnes qui exercent déjà une activité professionnelle dans le domaine du droit tel que les avocats, les juristes, les techniciens juridiques, les assistants, etc. Elle retient aussi à juste titre l’attention des personnes désireuses de se réorienter ou les étudiants soucieux de se préparer de la meilleure des façons à un stage ou des examens.
La formation, sanctionnée par une certification, peut en outre répondre aux besoins des professionnels qui doivent ponctuellement traiter des courriers en anglais ou rédiger des rapports dans la langue de Shakespeare, sans commettre d’inexactitudes. Ainsi, elle leur évite de solliciter un traducteur / traductrice juridique.
Si les outils de traduction se sont significativement améliorés ces dernières années, ils ont toujours l’inconvénient d’interpréter de manière littérale et ne retranscrivent généralement pas les subtilités juridiques.