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Comment améliorer sa compréhension orale anglais

Intro

Nombreux sont les apprenants qui, après avoir fourni beaucoup d’efforts d’apprentissage, avouent avoir toujours autant de mal avec l’anglais.

Cela peut être à l’écrit, mais aussi à l’oral.

Mais à quoi cela est-il dû ? est-ce votre faute ? Faut-il revoir votre méthode d’apprentissage ? Devez-vous changer de langue, ou tout simplement abandonner, car ce n’est pas fait pour vous ?

Nous avons faire le tour du sujet avec cet article, afin de vous apporter les éléments de réponse que vous avez besoin.

Pourquoi avons-nous cette impression de ne rien comprendre à l’oral ?

La prononciation :

En effet, celle-ci est bien différente.

On peut d’ailleurs faire la même remarque à l’inverse lorsqu’une personne anglophone parle français, cela se note immédiatement au niveau de l’accent.

La construction des phrases qui est différente :

La grammaire n’est pas la même. Un des premiers constats concerne les adjectifs en anglais ; ils viennent se placer avant le nom.

Exemples :

Un chat noir – A black cat

Les origines de la langue :

Ce n’est pas une langue latine, donc lorsque l’on recherche un mot, on ne peut pas le deviner comme on le ferait avec exemple l’espagnol, l’italien ou le portugais. Les racines sont différentes.

Exemples :

Terre (Fr) – Tierra (Es) – Terra (Pt) – Terra (It) – Earth (En)

Papa (Fr)  – Papá (Es) – Pai (Pt) – Papà (It) – Daddy (En)

Ceci est juste à titre indicatif, mais l’anglais est souvent bien différent.

Le manque de pratique :

Peu d’occasion de pratiquer la langue de Shakespeare dans notre propre pays.

Cela doit obligatoirement passer par une étude « dans notre coin ».

Nous n’avons qu’une langue officielle dans l’hexagone, et en plus de ça, l’anglais est totalement « délaissé, boudé, esquivé ».

Dans de nombreux autres pays, la publicité et les films sont tout en anglais avec parfois des sous-titrages ; cela force la population à apprendre, c’est même automatique.

En plus de cela, à aucun moment, nous aurons besoin d’utiliser l’anglais pour communiquer en France, ce qui ne nous permet pas de maintenant notre niveau.

La faute de nos écoles ? :

Est-ce le niveau de nos enseignants ? un manque de pédagogie peut-être ? La culpabilité de l’éducation nationale qui fait de l’tout anglais sauf une priorité ?

En tout cas, il y a un constat sans appel : Si l’on compte sur notre système scolaire pour avoir un bon niveau, le combat est perdu d’avance !

Il est inadmissible, voire honteux, d’arriver au lycée et de voir autant d’élèves ne sachant absolument pas parler anglais.

On se rend compte que les cours que l’on suit à l’école (primaire, collège, lycée et même université) ne nous permettent pas d’avoir un bon niveau.

Mais qu’est-ce qu’un bon niveau ?

C’est être capable de parler de n’importe quel sujet spontanément, sans hésitation, et pas seulement se contente de savoir dire « I’m Maxime, I’m French, I’m 25 years old, I’m working in a bank ».

En sortant des écoles, nous ne savons pas parler anglais. Nous devons opérer cet effort d’apprentissage par nous-mêmes.

Un mauvais niveau de français :

Vous allez trouver ce point très curieux, mais il est malheureusement véridique :

Comment peut-on espérer maitriser une seconde langue avec brio, quand nous ne sommes déjà pas capables de maitriser la nôtre à la perfection ?

Il suffit de prendre dix personnes et de les faire écrire pour s’apercevoir que l’on a un fort pourcentage de la population qui a du mal avec la grammaire, l’orthographe et la conjugaison.

À la sortie du lycée, dans les entreprises, dans notre entourage, et pire sur les réseaux sociaux, il est facile de se rendre compte de la quantité de personnes qui font des fautes, ou s’expriment avec des difficultés.

(ce qui est encore plus préoccupant quand une personne a le français comme langue maternelle, et que l’école est gratuite, sans oublier le fait que nous disposons d’internet comme accès illimité à l’information).

Nous n’avons pas la moindre excuse, car il y a des pays en voie de développement, et même des pays du tiers monde qui parlent anglais bien mieux que nous, en ayant un accès à l’éducation très limité, voire inexistant.

Ce problème nuit forcément à notre apprentissage de l’anglais. Cela revient à vouloir monter sur la 3ème marche alors que nous sommes à peine sur la première ; vouloir passer à l’étape suivante alors que l’étape actuelle est non acquise.

Paresse / Négativité / Mauvaise foi :

Essayez de poser la question à un proche « Pourquoi ne sais-tu pas parler anglais ?»

Voilà les réponses que vous aurez :

  • « J’ai essayé un peu à l’école, mais j’étais nul »
  • « Comment pourrais-je y arriver ? Je n’y comprends rien »
  • « Pour faire quoi ? Je parle déjà français c’est déjà pas mal ! »
  • « Je ne compte pas aller en Angleterre »
  • « Mais si je sais parler ! My name is Myriam, I Have 22 »  (sachant que l’on utilise to be an anglais pour dire son âge, c’est la première chose que l’on apprend).

Ce qu’il vous faut pour y remédier

Chaque problème a sa solution, ce qui est également valable lorsqu’il s’agit d’étudier la langue anglaise.

Dans l’intro nous nous étions posé la question de savoir si nos difficultés en anglais étaient de notre faute, la réponse est mitigée car :

Si l’on veut on peut réellement apprendre nous avons toutes les cartes en main ; ensuite comme vous l’avez compris, il ne faut pas se reposer sur les cours de l’éducation nationale.

Tout d’abord sachez que la langue anglaise n’est pas difficile, tout est une question de volonté et de pratique, alors persistez ! Continuez cette démarche et vous verrez que vous n’aurez rien à regretter.

Ainsi, nous allons rebondir sur les causes énumérées plus haut, point par point et vous apporter des idées pour vous faire progresser.

La prononciation :

Parfois au cours d’une conversation orale, vous aller correctement restituer un mot que vous avez appris et donc retenu, mais un problème subsiste…

  • Pour enfin réussir à vous faire comprendre et ne plus entendre un « sorry ? » de la part de votre interlocuteur, pensez à réviser vos cours de phonétiques.

Ceci est très important, d’autant plus que nous avons fréquemment cette fâcheuse tendance à boycotter la phonétique. On ne peut pas se permettre de sélectionner ce que l’on veut apprendre, d’autant plus que cette partie est essentielle.

Nous devons réviser afin d’être capable de mémoriser les sons en anglais, raison de plus car il en existe 14 que nous n’avons pas dans la langue française.

  • Il est très utile de regarder des films en VO, sélectionner l’anglais et éventuellement choisissez les sous-titres en français si vous sentez que c’est encore tôt pour vous, et que vôtre niveau est trop fragile.
  • Ecouter de la musique, la radio ou des podcast (tout cela est très facile d’accès, en plus vous avez la possibilité de mettre en pause et revenir en arrière pour écouter).

La construction des phrases qui est différente :

Pour progresser dans ce domaine, l’entrainement est fondamental, nous devons faire régulièrement des exercices.

De plus, il est important d’écouter les natifs parler, tendez l’oreille, concentrer-vous, petit à petit on s’habitue, « on enregistre » et adopte le système en ne commettant plus nos erreurs.

Lire des livres, des magazines, des sites internet, ou des forums peu importe, mais votre cerveau photographie ce qu’il voit, et ainsi vous renforcez votre anglais.

Le manque de pratique :

  • Chercher des correspondants sur le web, faites des rencontres et forcez-vous à échanger un maximum.
  • Voyage dans un pays qui a l’anglais comme langue officielle, il est important de le préciser, car n’espérer pas améliorer votre anglais en séjournant quelques semaines en Russie par exemple, c’est contre-productif. Leur niveau général d’anglais est faible, et même les exceptions auront tendance à avoir un anglais simple avec des erreurs, donc ce n’est pas l’idéal pour vous.

L’Angleterre et les États-Unis sont vraiment les meilleures destinations pour cela (Leur anglais est facile et leur accent sera plus à votre portée que celui des Australiens ou des irlandais par exemple).

La faute de nos écoles ? :

Nous sommes à présent d’accord sur la contre-performance du système scolaire pour nous permettre d’obtenir un solide niveau d’anglais. Voici donc ce que nous vous proposons :

L’avantage est que vous allez tout reprendre, revoir les bases, à votre rythme.

De cette manière, vous allez vite faire des progrès, avancer correctement avec des professionnels qui ont l’habitude d’enseigner à des adultes présents de leur propre volonté, et non pas des élèves forcés à faire acte de présence.

Ce genre de programme s’adapte à tous, et vous aurez la chance de

Un mauvais niveau de français :

Par rapport à cette problématique, si l’on a des lacunes en français, il n’est jamais trop tard, acheter des livres.

Révisez vos cours de grammaire, d’orthographe, de conjugaisons et de règles de français. Vos pouvez aussi en retrouver en ligne.

Il n’y a aucune honte à cela, chacun à ses forces et faiblesses, et vous pouvez rattraper votre retard ! Dîtes vous bien qu’un bon niveau de français est nécessaire pour apprendre l’anglais.

Si savoir parler et écrire dans votre propre langue constitue déjà un défaut pour vous, il ne faut pas sauter des étapes.

Documentez-vous et rafraîchissez-vous la mémoire, cela ne fait jamais de mal de réouvrir ses cahiers du collège ou même ceux de l’école primaire avec qui vous étiez fâchés pendant de longues années.

Paresse / Négativité / Mauvaise foi :

Enfin, nous y arrivons ! Dernier (et pas des moindre !) élément.

Pour se motiver soi-même, ou motiver une personne il est nécessaire de se rappeler de l’utilité que représente la maitrise de l’anglais. Cela nous donne un plus du côté professionnel, une possibilité de faire des rencontres, d’être plus autonome …

Il faut mettre en avant le fait que cette langue n’est pas difficile et qu’il existe de nombreuses possibilités pour apprendre (Il y a des sites internet, des instituts, des professeur privés…) cela est même possible de le faire gratuitement.

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